Mitsurugi Seishirô
Professeur d'Eco&Gestion
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Date d'inscription : 01/11/2007
 |  Sujet: Mitsurugi Seishirô - Professeur d'Eco-Gestion pas net  Dim 4 Nov - 8:14 | |
| Nom : Mitsurugi
Prénom : Seishirô
Age : 41 ans
Date de Naissance: 30 Octobre 1966
Signes Astrologiques: Cheval - Scorpion
Description physique :
Seishirô en impose d'abord par sa grande taille: il fait un mètre quatre-vingt six, et doit peser quatre-vingt seize kilos. Que du muscle évidemment, car il est sportif. Il a même été deuxième ligne dans le club de rugby de son lycée, qui a fini deux fois champion en nationale. Il est également 5e dan de Kendô, ce qui impose le respect. Bref, Seishirô dispose d'une stature imposante, qu'il continue d'entretenir avec soin.
Sa coupe de cheveux originale ne semble choquer que ceux qui ne le connaissent pas, puisqu'il la porte depuis déjà un bout de temps. Comme la plupart des Japonais, ses cheveux sont raides et noirs, mais ils ne sont pas trop épais, et sont plutôt doux. Ses petits yeux sont noirs également, et fonctionnent très bien. Quand Seishirô porte des lunettes, elles sont à verres neutres, et servent uniquement à cultiver son style, bien qu'on puisse croire qu'il a passé l'âge, à 41 ans.
Description psychologique :
Si on devait décrire Seishirô en un mot, ce serait ambition. La sienne est dévorante, passionnée et aussi grande que son ego. Autant dire tout de suite que c'est le dernier des salopards. Il est prêt à tout pour arriver à ses fins, et le pire, c'est qu'il est assez intelligent pour effectivement gagner à presque tous les coups. Evidemment, il s'est déjà cassé les dents et a lui aussi connu l'échec, mais sa vengeance avait été encore plus brûlante et dévastatrice que sa soif de pouvoir.
Et bien sûr, il est trop rusé pour montrer cette partie de lui à n'importe qui. En apparence, il est calme, posé, mais pas pour autant sociable. C'est plutôt même le contraire. Seishirô est quelqu'un de si secret, si inaccessible et son esprit est si insondable qu'on ne peut que le craindre, car il émane de lui une aura malsaine. Un sourire chez lui est synonyme d'agacement profond, un rire est une menace de mort. Et il est bien capable de tuer, ne vous en faites pas...
Histoire du perso :
Mitsurugi Seishirô est né dans une riche famille de yakuzas, son père étant le bras droit du clan dans lequel il exerçait. La façade était un bar très chic, où sa mère faisait office de patronne. Le petit Seishirô comprit très vite la valeur de l'argent, et la défintion du mot 'pouvoir'. Les 'affaires' marchaient bien, les gens payaient en temps et en heure, et bientôt, l'influence du clan où officiait son père s'étendit à tout le quartier. Et quel quartier: Roppongi était tout entier au clan yakuza dont Mitsurugi Jin était le second.
Alors que Seishirô entrait au lycée - où il allait devenir un brillant deuxième ligne et un élève aussi déstabilisant que doué - le numéro un du clan mourut d'une longue maladie, ce qui laissa à Jin l'occasion de diriger le clan, ce qu'il fit d'une main de fer. Mitsurugi Jin était devenu un modèle de réussite absolue pour son fils aîné, qui continua ses efforts dans tous les domaines, soucieux de toujours vouloir en imposer aux autres, et surtout à son père.
Car Jin ne s'occupait pas vraiment de son fils. Bien sûr, il voulait le voir réussir pour prendre sa place, mais il ne lui montrait ni fierté, ni amour. Quant à Megumi, sa mère, elle était certes moins froide que Jin, mais maintenant que Seishirô était en âge de pouvoir agir seul, elle le laissait tranquille, et pris ses distances, lui préférant Haruka, sa petite soeur. Seishirô ne montra rien, comme à son habitude, et pris sur lui: ils allaient voir ce qu'ils allaient voir, tous!
En effet. Ils virent. Seishirô arriva premier aux concours d'entrée à l'université, et ce quelle que soit ladite université. Il fit ses études à Tôdai, puis alla étudier quelques années en Allemagne. Il en fut diplômé, et revint à Tokyo pour gérer seul l'un des nombreux bars que son père avait acheté entre temps. Hélas, moins d'un an plus tard, Jin fut assassiné, une balle en pleine tête: il s'était fait avoir par la mafia chinoise. Les salauds! Seishirô décida de se venger, mais prit bien sûr son temps. C'est ainsi que tout en reprenant le flambeau de son père, Mitsurugi Seishirô arriva à la tête du clan de yakuza de Roppongi, avec de nombreux bars et hôtels. Seishirô prit sa revanche sur les chinois en influençant les banques, dont il connaissait bien les dirigeants: résultat, il leur avait coupé les vivres. A présent, la mafia chinoise de Tokyo lui était dépendante, ce qui l'arrangeait, bien évidemment.
Il se maria dans le faste et l'hypocrisie générale un beau jour de mai, avec une femme qui lui convenait parfaitement pour ce genre de tâche: docile, calme, soumise. Mais en fait, avant et après son mariage, il cherche à assouvir son besoin de domination avec des femmes beaucoup plus indépendantes ou plus rebelles: ça avait plus de charme déjà. Il eut un fils avec sa femme, qu'il nomma Tarô, et qui devait en toute logique reprendre la gigantesque entreprise de son père, et tout ce qui allait avec. Actuellement, Tarô est encore au collège, car il est âgé de douze ans.
Mitsurugi Megumi, et Haruka, la mère et la soeur de Seishirô, sont toujours à Tokyo, et gère chacune un bar. Maki, la femme du chef de clan, est à la tête d'un petit hôtel qui ne paie pas de mine. Pour l'instant, Seishirô veut qu'elle se concentre sur l'éducation de leur fils Tarô.
Parmi le champ d'influence de Seishirô, qui s'étendait d'année en année, se trouvait donc de nombreux bars, des boîtes de nuits, des maisons closes plus ou moins chics, qui tous lui prêtaient allégeance. Un vrai petit royaume d'argent sale pour Seishirô, dont le bras s'étendait jusqu'au Midnight Crow, tenu par un intermédiaire. Des circonstances obscures obligèrent Seishirô, qui bien qu'aimant voyager, préférait son loft à Tokyo, à venir quelques temps dans la ville hébergeant le Midnight Crow, et l'université Hokubu, le tout sous la forme d'un nouveau professeur d'Economie et Gestion. Bien sûr, le fait d'enseigner ne lui plaisait pas vraiment, mais il n'avait pas le choix, dans la situation actuelle. C'était encore le meilleur moyen pour l'approcher... mais qui? Ou quoi?
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