Kimiko Tsukuchi - Professeur de Sociologie

Nom : Aucun

Prénom : Mahalath, dite Kimiko Tsukuchi

Age : Ne parait pas plus que 27 ou 28 ans

Description physique : Jeune femme au teint clair, ne paraissant pas avoir plus de trente ans, Kimiko, ou plutôt, Mahalath, est de taille moyenne, peut-être un peu plus grande que la moyenne nippone, tournant vers le mètre soixante douze qu’apprécient les mannequins. D’un mannequin d’ailleurs, elle a presque tout, avec les bonus cependant : La silhouette fine et bien découplée, les jambes longues, mince, un volume mammaire très respectable, sans tourner dans le vulgaire, la peau laiteuse et douce, qui semble appeler le contact d’une manière irrépressible. Pas besoin de faire un dessin : c’est un très joli brin de femme. Elle a le visage fin, les lèvres d’un rose presque rouge, pleine, les yeux d’un vert profond et captivant, aux longs cils, donnant un regard très expressif. Ses cheveux sont d’un brun chocolat, descendant jusqu’à sa taille, dégradés sur le devant, encadrant son visage de mèches rebelles. Pas de piercing, pas de tatouage. Avec sa beauté presque irréelle, elle semble tout simplement parfaite, sans défaut, laissée vierge à la souillure des épreuves, du monde, du temps. Seul détail un peu notable, elle porte les ongles longs, manucurés avec soin, et d’une couleur noire, sûrement due à un bon verni…
Elle aime à se vêtir de tenues élégantes et qui mettent en valeur ses formes, mais sans jamais tomber dans la vulgarité.

Description psychologique : Apparemment…Kimiko sera une jeune femme bien élevée. Calme, bien que dynamique, elle sait être sérieuse quand il faut l’être, et prendre la vie comme elle vient le reste du temps. Souriante, polie, un peu taquine peut-être, c’est quelqu’un d’agréable et d’ouvert, qui se lie d’amitié facilement, tout en tenant ses classes d’une main experte. Elle sait ce qu’elle fait, et elle a l’habitude de bien faire ce qu’elle entreprend. Patiente, elle n’a pas l’habitude de se laisser démonter, et sait y aller au culot quand il le faut. Mahalath, la vraie personnalité…c’est déjà une autre affaire. Egoïste, orgueilleuse. C’est un être colérique, qui s’irrite vite, part en caprice. Réussir à rester Kimiko, à sourire et donner le change, est pour elle un véritable exploit. Toutefois, dès qu’elle se retrouve seule, elle se laisse déborder par ses émotions, sa frustration, sa rancœur. Elle est avide de vengeance, terriblement intelligente, et ne recule devant rien pour obtenir ce qu’elle veut, quand elle le veut. Démone à l’esprit lubrique, elle fera souffrir quand elle en à l’occasion, et ira même les provoquer ces occasions, car elle apprécie disposer d’autrui, manipuler les gens à sa guise, et suivant ses propres desseins.

Histoire du perso : Elle est née des entrailles de la terre, elle s’est nourrie des flammes de l’enfer pendant des siècles, puis s’est trouvée d’autres moyens plus intéressants de se sustenter, notamment grâce aux hommes…Elle ne sait guère plus comment tout cela à commencer, mais ça n’a pas grande importance. Elle est l’une des quatre reines des démons, Mahalath, avec Igrat, Nahemah, et la trop connue Lilith…Cette petite débauchée trop maligne qui a su attirer sur elle les feux des projecteurs, de la terre entière…Oh jalouse oui, elle l’avait été, et l’était encore. Et pourquoi pas ? Elle avait eu des millénaires pour expérimenter chacun des pêchés capitaux, et certains avaient sa préférence, comme, l’orgueil, la luxure, l’envie…

Une existence si longue, et si pleine de rien…Elle n’était guère venue sur la Terre, parmi les mortels, car elle préférait laisser ce genre de distractions à des démons de plus bas lignages…Outre les obligations que lui indiquaient son rang, c’était une vie de compétition. Qui est la plus belle, qui est la plus terrible, la plus cruelle…Qui saura entrer dans les bonnes grâces de Lucifer ? Car quand on est Mahalath, on ne souffre d’aucune contrainte, d’aucune loi. Vie de débauche, elle errait en bas, d’une demeure à l’autre, s’attirant les faveurs des uns, les faisant mariner, puis les abandonnant pour d’autres, provoquant de très divertissants conflits. Elle faisait parfois du Shéol sa demeure, avant de s’en aller, lunatique et capricieuse, vers la Géhenne, l’Erebe, ou l’Hybris…Elle collectionnait les amants, autant chez les démons, ce qui provoquait ma foi, souvent beaucoup d’animations, que chez les mortels égarés. Elle tourmentait les âmes, encore et encore.

Elle en vint, il y a deux à trois cent ans, au sommet de sa gloire. Les autres reines avaient perdus pied face à elle, qui les dominait toutes, même Lilith. Elle avait réussi à les surpasser en beauté, ruse, intelligence macabre… Epoque insouciante et inconsciente, si légère, si superficielle…Elle était la préférée de Lucifer, le taquinant en se faisant proche de Samael, ou d’autres démons de bonne réputation…Mais cela devait lui jouer des tours, cependant…Ce fut un coup monté contre elle, tout simplement. On la discrédita, elle perdit sa place de favorite. Comment ? Qui ? Elle n’en avait qu’une vague idée. Enfin, pas si vague que cela…La colère, la haine, qui venait de la lassitude, le goût de la défaite. L’envie de vengeance…Mahalath prit son temps pour préparer tout cela. Elle disparut des enfers, un beau jour, sans laisser de trace. Oh, on ne la savait ni morte, ni en fuite, simplement partie chez les mortels. Elle ne savait pas trop comment s’y prendre, mais elle rêvait dès lors d’une victoire écrasante et totale. Quitte à détruire les enfers, pour ensuite les reconstruire. Pour être l’unique reine, la plus puissante qui existe. Détruire ses concurrentes était une obligation. Et Lucifer, peut-être ? Elle voulait régner sans partage. La réponse se trouvait parmi ceux qui avaient quitté ce monde, elle le sentait. Des alliés, elle pouvait s’en faire. Réunir la puissance nécessaire.

Sciemment, elle brida ses pouvoirs. Elle fit un pacte qui lui permit de ne garder guère plus que l’aura d’une succube, et les capacités. Pour l’anonymat, et que personne ne la soupçonne, c’était nécessaire…Elle réapparut au vingt et unième siècle au Japon, à l’université d’Hokubu, là où les forces occultes se réunissaient, sous l’apparence de Kimiko Tsukuchi, professeur de sociologie, tout juste mutée de Tokyo. Au milieu de tout ces jeunes gens, elle trouvait un bon divertissement. Et au milieu de tant de magie, même si elle devait faire preuve de prudence, elle trouverait le soutien, le pouvoir optimal, pour accomplir sa vengeance…

Autres : Une grande puissance bridée, aux pouvoirs phénoménaux. Kimiko ne conserve plus que les pouvoirs d’une succube. Très séduisante, d'un charisme presque irréel qui a tendance à lui attirer facilement les faveurs d'autrui... Elle peut visiter les songes, se les approprier, les transformer selon son bon vouloir, hanter les nuits de n’importe qui. Pour sa défense, elle s’est gardé le pouvoir de créer des ondes de choc, en tout genre, et de toute puissance, dans la limite des pouvoirs qu’elle est sensée avoir.